Banksy a encore frappeé avec une nouvelle fresque murale à Finsbury Park, Londres, dévoilée le jour de la Saint-Patrick. Ce mural, typiquement engagé, critique probablement la pratique de l' »éco-blanchiment » par les entreprises (greenwashing), une pratique trompeuse utilisée par les grandes industries pour paraître plus écologiques. En mettant en avant un arbre dramatiquement pollardé, Banksy nous rappelle l’importance de laisser la nature se régénérer naturellement.
Banksy et la Saint-Patrick : Une combinaison percutante
Le jour de la Saint-Patrick, marqué par la couleur verte, Banksy a choisi de dévoiler son dernier mural. Situé à Finsbury Park, Londres, l’œuvre représente une figure tenant un vaporisateur sous une bande de peinture vibrante. Ce choix de date et de couleur n’est pas anodin, il renforce le message écologique de l’artiste tout en s’inscrivant dans une célébration populaire.
Une critique acerbe du greenwashing
Banksy utilise l’image d’un arbre sévèrement élagué pour illustrer comment les pratiques de greenwashing manipulent la perception du public. Ce choix artistique vise à dénoncer les faux-semblants des entreprises et à sensibiliser le public sur la véritable nature de leurs actions.
L’arbre au centre de la fresque a été dramatiquement pollardé, une méthode de taille qui favorise une croissance plus dense des branches inférieures. En mettant en avant cette technique, Banksy souligne la manière dont les humains cherchent à contrôler la nature. Il nous invite à réfléchir sur la nécessité de laisser la nature se rétablir d’elle-même, sans intervention excessive.
Bansky sur les réseaux
Pour en savoir plus sur cette œuvre et découvrir les autres créations de Banksy, suivez son compte Instagram. L’artiste y partage régulièrement ses nouvelles œuvres et ses réflexions, offrant un regard critique sur notre société contemporaine.